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lundi 9 août 2010

The Martins

Dès les premieres mesures de l’opus, les Martins, emmènent l’auditeur dans un scandaleux voyage garage rock. Autant le son, crasseux et brut, que les compos, toutes très entrainantes et bien pensées, tout dans cet album est fait pour que l’auditeur se fasse écraser par les énormes paires de burnes du groupe.

Non parce que, avant d’être un groupe vraiment efficace, les Martins c’est surtout un groupe de burnés, qui causent de sexe, de drogue, de rock et un peu de roll aussi, en gueulant partout que s’il est pas content, le pékin moyen peut toujours aller se faire foutre, justement parce que ca aussi c’est Rock n’ roll.
Outre l’attitude énorme du groupe qui transparait autant sur l’enregistrement que dans les énormes live qu’il nous offre régulièrement, « The Martins » c’est donc un putain de son garage ou tout est pourtant parfaitement audible. Des solos bluesy / rock, une batterie et une section rythmique qui casse tout et un chanteur qui assure grave, portant toute la formation –déjà talentueuse- sur ses épaules. Très puissant dans ses vocaux, on sent que le gars s’éclate a donf.
Et tout ca explose comme par magie sur le morceau « Loser », véritable bijou de l’opus, un morceau bourrin et efficace à souhait.
Le premier album de The Martins est donc un condensé d’énergie, d’efficacité et d’attitude (putain, les paroles de Finally ou de Loser cassent tout !), le tout porté sur burnes.
A écouter en urgence !

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